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Incroyable exfiltrationPhilippe Leuba raconte le sauvetage rocambolesque des cyclistes afghanes

Masomah Ali Zada, ici devant le siège de l’UCI à Aigle, est l’une des athlètes cyclistes à être arrivée en Suisse début octobre.

«Je suis rentré dans l’affaire parce qu’on avait une athlète au Centre mondial du cyclisme, Masomah Ali Zada, qui a fait les Jeux olympiques avec l’équipe des réfugiés. Elle est devenue emblématique du combat des femmes afghanes. Avant les JO de Tokyo, en discutant avec son entraîneur cet été, on s’est bien rendu compte qu’elle était stressée. Les talibans commençaient à progresser et s’emparer de toutes les provinces en Afghanistan. Une fois le départ annoncé des Américains, ça n’allait pas durer avant que Kaboul ne tombe. Sa sœur était encore là-bas, avec son mari et leurs deux enfants. C’est là que j’ai commencé à intervenir.» Les mots sont de David Lappartient, le président de l’Union cycliste internationale. Une première réaction qui va l’embrigader, lui d’abord, et Philippe Leuba ensuite, dans une épopée assez hallucinante: l’exfiltration de l’équipe féminine afghane de cyclisme.

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