REAL RAW NEWS

Par Michael Baxter - 3 septembre 2021

54e REAL RAW NEWS

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https://realrawnews.com/2021/09/bill-gates-military-tribunal-day-3/

Le troisième jour du tribunal militaire de Gates a commencé avec son avocat, David Baluarte, implorant le tribunal d'entendre une déclaration qu'il avait préparée. À contrecœur, le vice-amiral John G. Hannink du corps du juge-avocat général de la marine américaine a déclaré qu'il autoriserait une brève déclaration. Mais le concept de brièveté de Baluarte signifiait implorer le tribunal dans une longue tirade animée au cours de laquelle il réprimanda à nouveau l'armée pour avoir poursuivi un homme innocent et souligna à quel point l'Amérique serait tragique, sans les contributions de Gates à la société.

Il a vanté les actions caritatives de Gates, affirmant que Gates était le plus grand philanthrope que l'humanité ait jamais connu, et a passé 8 minutes à réciter une liste d'organismes de bienfaisance qui ont bénéficié du comportement altruiste de Gate. Un monde sans Gates, a déclaré Baluarte alors qu'il boitillait dans la salle d'audience, serait un gouffre de désespoir lugubre, profond et sombre, dépourvu de gentillesse et de décence, et en proie à plus de maladies et de maladies que ce qui afflige actuellement la planète. Il s'est vanté des réalisations technologiques que Gates avait apportées aux gens ordinaires, affirmant que l'Amérique aurait été replongée dans l'âge des ténèbres sans les technologies prééminentes de Gates.

"Bill Gates a été et sera toujours un visionnaire", a déclaré Baluarte, "et son expertise, ses inventions et sa gentillesse ont sauvé des milliers, des millions de vies."

"Avez-vous fini?" a demandé le vice-amiral Hannink. « Je pense que ce tribunal s'est livré à votre théâtre assez longtemps. »

Le vice-amiral Hannink s'est mis au travail.

« Bien sûr, Bill Gates a fait un don à des œuvres caritatives. Je me demande s'il a inventé quoi que ce soit ; il avait des gens plus intelligents que lui qui faisaient ce travail pour lui. Mais sa gentillesse n'était qu'une mince couche de placage, une illusion faite pour cacher qui et ce qu'est réellement Bill Gates », a-t-il adressé au panel de 3 officiers chargé de peser le bien-fondé du dossier de l'armée contre Gates.

Il a présenté au tribunal des documents obtenus à partir d'ordinateurs que l'armée avait saisis lors de raids clandestins sur plusieurs propriétés de Gates à travers le pays. Ils ont offert un aperçu des relations secrètes de Gates avec plusieurs grandes sociétés pharmaceutiques, dont Pfizer, Merck et Johnson & Johnson. Un e-mail daté du 4 août 2001, Gates a fait une proposition au PDG de l'époque de Pfizer, Henry McKinnell, et il a décrit ce que toute personne sensée et raisonnable considérerait comme un programme néfaste - entachant discrètement les vaccinations avec un poison indétectable qui dissoudrait lentement le cervelet du destinataire sur de nombreuses années tout en érodant simultanément les organes vitaux. Les symptômes, selon l'e-mail, ne feraient pas surface pendant des années, et quand ils le feraient, des cliniciens désemparés proscriraient la maladie à d'autres affections ou à une affection appelée défaillance inexplicable d'un organe, un pronostic utilisé lorsque les médecins ne peuvent pas identifier avec précision la cause d'une maladie terminale. Au moment où les symptômes se présentent, il serait trop tard. Gates a écrit que son « produit » pouvait vaincre tous les traitements et remèdes.

Qu'est-ce que Pfizer avait à gagner de cette offre ? Gates a accepté de « faire don » de 150 000 000 $ par an aux programmes de recherche de Pfizer sur l'amélioration de la sécurité et de l'efficacité des vaccinations, et de 10 000 000 $ par an à la caisse noire de McKinnell sur les îles Caïmans.

Le vice-amiral Hannink a attiré l'attention du panel sur le courriel de réponse de McKinnell.

"Cher M. Gates", a lu le vice-amiral Hannink dans la réponse, "vous savez que je partage votre point de vue selon lequel notre planète est sur la voie dangereuse de la surpopulation et qu'en fin de compte, un abattage sera nécessaire pour préserver les ressources des personnes en mesure de profite réellement à la société. Si c'était mon choix, exclusivement, j'embrasserais votre idée à bras ouverts et j'irais de l'avant à toute vapeur. Cependant, mes collègues et moi pensons qu'il est trop tôt et que l'entreprise risque de m'incriminer, ainsi que l'entreprise dans son ensemble. Nous pouvons poursuivre ces discussions à l'avenir, car des mécanismes sont mis en place pour empêcher moi, vous ou l'entreprise de paraître coupables si la véritable cause de la maladie était rendue publique… »

Gates a répondu que son peuple avait déjà effectué des essais cliniques sur 250 personnes en utilisant une variante accélérée du médicament, qui avait été introduit dans les vaccinations antigrippales. L'e-mail ne précisait pas quel segment de la population avait reçu le poison, mais Gates a écrit que les 250 personnes "ont expiré" le même jour, six mois après avoir pris le médicament.

Baluarte s'y est opposé, affirmant que les e-mails auraient pu être fabriqués, altérés ou modifiés pour faire apparaître un homme innocent, Gates, coupable.

"Monsieur. Gates a fait de gros efforts pour crypter ces communications, mais nos chiffrements et nos experts en criminalistique numérique indépendants les ont liés à l'empreinte numérique de Gates et il ne fait aucun doute que ces e-mails ont été écrits par lui ou pour lui », a déclaré le vice-amiral Hannink.

Baluarte a imploré l'indulgence du tribunal, demandant une suspension afin qu'il puisse s'entretenir en privé avec son client.

Un vice-amiral exaspéré, semblant lui-même fatigué, a accepté et a suspendu le tribunal jusqu'à jeudi matin.

Éditeur : J'espère recevoir le rapport de jeudi aujourd'hui.