Conseil financier : pourquoi les robo-advisors n'ont pas trouvé leur public Contenu réservé aux abonnés
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Les principaux robo-advisors sont désormais adossés à des groupes. Generali est entré au capital de la plateforme Advize, et Yomoni consolide ses liens avec Arkéa Crédit Mutuel.
Par Éric Benhamou
En quelques années, les plateformes d'investissement automatisées (robo-advisors) se sont multipliées, mais aucune n'a vraiment réussi à décoller auprès du public, contrairement à leurs aînées anglo-saxonnes. Certaines ont disparu, comme Marie Quantier (qui doit cependant se relancer en octobre, sous une nouvelle marque et un nouveau concept), d'autres ont changé leur modèle vers une offre BtoB, et une grande majorité est désormais adossé à des banques, des sociétés de gestion ou des compagnies d'assurances.
C'est le cas notamment de l'un des pionniers en France, WeSave (ex-Anatec), devenu une filiale à 100 % du gestionnaire d'actifs Amundi. Dernier exemple en date, la plateforme Advize, qui propose des solutions BtoB, qui vient de faire entrer à son capital l'assureur Generali, un partenaire de longue date. L'assureur n'est pas à son premier coup d'essai. Une de ses filiales a déjà pris une participation majoritaire dans Altaprofits, lancé il y a plus de vingt ans, et Generali travaille avec la plateforme Nalo.
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