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Les investissements dans les start-up européennes tournent au ralenti

Le financement des jeunes pousses est entravé par la crise du coronavirus. Après un arrêt net, les investisseurs en capital-risque reprennent lentement leur activité, en faisant preuve de davantage de frilosité

Un écran illustre la chute des marchés financiers, le 12 mars 2020. — © Ralph Orlowski/REUTERS
Un écran illustre la chute des marchés financiers, le 12 mars 2020. — © Ralph Orlowski/REUTERS

Devenues monnaie courante ces dernières années, les annonces de levées de fonds opérées par des start-up se font déjà un peu plus rares. En mars, Dealroom a observé une baisse de l’activité de 33% par rapport au moins de janvier. Un avant-goût du recul redouté des investissements en capital-risque, principale source de financement des jeunes entreprises.

Car «c’est surtout à partir de mai que l’on verra l’impact de la crise», prévient Yoram Wijngaarde, cofondateur de Dealroom, une société hollandaise qui scrute le marché européen des jeunes pousses. La plupart des annonces actuelles concernent des négociations qui étaient déjà bien avancées avant la pandémie.

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