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L’alpinisme entre au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco

Menée par trois pays, la France, l’Italie et la Suisse, la candidature de l’alpinisme au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco a été acceptée ce mercredi à Bogotá. Quelles conséquences pour l'alpinisme?

12 déc. 2019, 06:38
La reconnaissance de l'alpinisme au patrimoine culturel immatériel de l'Unesco permet de rappeler l'essence même de la pratique.

Repérer un sommet, l’étudier, s’y frotter, le gravir ou renoncer en cours de route, le tout dans un esprit de solidarité et de compréhension mutuelle entre les membres d’une même cordée. La pratique, issue d’une longue tradition, peut sembler banale dans un territoire alpin comme le nôtre. Elle ne l’est pourtant pas pour une majorité des citoyens de ce monde.

Conscientes de la richesse de ce patrimoine culturel et de ce savoir-faire, la France, l’Italie et la Suisse, toutes trois traversées par le massif des Alpes, défendent ensemble la candidature de l’alpinisme au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco (PCI). En Suisse, l’Association suisse des guides de montagne (ASGM), le Club alpin suisse (CAS) et le Centre régional d’étude des populations alpines (CREPA) sont à la base du projet, soutenu ensuite par l’Office fédéral de la culture. Ce mercredi à Bogotá, la candidature a été acceptée sans surprise par le Comité...

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