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Un verre de rouge avec Mirka, et ça repart

Roger Federer, qui n'a plus triomphé à New York depuis 2008, veut prendre les choses comme elles viennent.

La question que tout le monde brûlait de lui poser est arrivée à la fin, comme toujours les questions qui (potentiellement) fâchent. Roger Federer devait s'y attendre, car il n'a pas cillé. «Oui, j'ai un peu ressassé ma défaite à Wimbledon, a posément expliqué le Bâlois. J'y ai pas mal pensé les deux premiers jours. Après, je voyageais en caravane avec mes enfants et je ne voulais pas gâcher ce moment. Je devais aussi organiser ma vie de famille. Parfois, bien sûr, j'ai eu des flash-backs. Des images, des bouts de match. Je me suis dit que je n'aurais pas dû jouer ce coup comme ci, ou ce point comme ça. J'étais beaucoup plus fâché que triste, en réalité. Ni abattu ni déçu. Surtout fâché contre moi. Puis nous avons bu un verre de vin avec ma femme. Nous en avons discuté tranquillement et, c'est vrai, elle a raison, la demi-finale était bonne, la finale aussi, en un sens. Je ne dois pas rester sur des images négatives.»

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