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Restauration collective et agriculture de qualité

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Les décrets d'application de la loi "égalim" commencent à paraître. L'un d'eux concerne la restauration collective et l'obligation qui lui est désormais faite de réaliser la moitié de ses approvisionnements "sous signe de qualité". En la matière le Vaucluse est en avance grâce au réseau "agrilocal".

Agrilocal et restauration collective (illustration)
Agrilocal et restauration collective (illustration) © Radio France - Jean-Pierre Burlet

Des approvisionnements "sous signe de qualité" cela veut dire des produits AOP, AOC, IGP, AB ou HVE, la certification Haute Valeur Environnementale. Pour les agriculteurs, ce sont de nouveaux marchés "captifs" qui se présentent. Si cela ouvre de nouveaux débouchés locaux, cela entraîne aussi de nouvelles contraintes. Des contraintes que les producteurs vauclusiens commencent à bien connaître grâce au travail réalisé avec le réseau agrilocal qui travaille depuis plusieurs années à mettre en contact agriculteurs et collectivités locales  dans le département.

Favoriser les circuits courts

C'est pourquoi la chambre d'agriculture propose des formations pour que les agriculteurs vauclusiens s'y retrouvent. Formation qui permet notamment de comprendre ce que veut dire  "coût d'externalité positive". Un terme compliqué et technocratique pour désigner l'impact carbone d'un produit agricole.

Les détails de cette formation ouverte et à distance sont disponibles sur le site de la chambre régionale d'agriculture .

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