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Michel Butel est mort. Son nom ne dira peut-être rien aux lecteurs de ce Bloc-notes. C'était pourtant un écrivain rare et grand. Un poète de la politique et de la vie. Et c'était un auteur de journaux au sens où, d'habitude, on dit auteur de livres. Ensemble, il y a un peu plus de quarante ans, nous en avons fondé un qui s'appelait L'Imprévu. Ce n'était pas, tant s'en faut, le meilleur de ceux qu'il aura passé sa vie à rêver et créer. Mais c'était le premier. Et il était déjà, lui, Michel, devenu celui qu'il était et dont j'ai, bien plus tard, en 2009, dans La Règle du jeu, publié l'autoportrait magnifique. Il était génial et humble. Féroce et généreux. Il était radical, on disait alors « révolutionnaire », mais avec la douceur, la tendresse et, au fond, la bonté qui font si souvent déf...
illustration : dusault pour « le point »
Comme je ne lis pas "Le Monde" et que je ne regarde jamais TF1, seulement BBC World et ARTE pour les nouvelles, je n'ai pas eu l'heur de voir ni d'écouter Benalla ni de tomber sous son charme, ce qui fait que mon opinion vis-à-vis de ce qui reste "une affaire" étouffée est inchangée.
Sauf que si le dommage collatéral de l’affaire Benalla c’est de contribuer à empêcher la révision Constitutionnelle, le pays s’en portera beaucoup moins bien.
... Il ne restera bientôt plus que l’indisposante mise à mort « du pelé, du galeux »... Pertinente évocation de « Les animaux malades de la peste »... Et quel style !