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Saint-Augustin : les conseillers de l’ère Corriveau passent le relais

Les cinq conseillers issus de l’ère Corriveau ont annoncé en point de presse qu’ils ne se représenteraient pas aux prochaines élections municipales.

De gauche à droite, les conseillers Denis Côté, Louis Potvin, France Hamel, Lise Lortie et Guy Marcotte.

Photo : Radio-Canada / Jean-François Nadeau

Radio-Canada

Les cinq conseillers municipaux de Saint-Augustin-de-Desmaures issus de l'ancienne administration du maire Marcel Corriveau ne se représenteront pas lors des élections de novembre prochain.

Denis Côté, France Hamel, Lise Lortie, Guy Marcotte et Louis Potvin ont décidé de passer le flambeau afin d’inciter une nouvelle génération de citoyens à prendre la relève.

« On espère une équipe qui va se présenter en novembre 2017 ayant à sa tête un leader positif, un rassembleur, un visionnaire et c'est pour ça qu'on laisse la place », a expliqué la conseillère du district no 2, France Hamel.

On veut mettre fin au discours destructeur, négatif et rétrograde du maire actuel Sylvain Juneau et de son supporteur, Raynald Brulotte.

Une citation de France Hamel, conseillère du district no 2

Les cinq conseillers ont l’intention de rester en poste jusqu’à la fin de leur mandat.

« Une excellente nouvelle »

Le maire Sylvain Juneau, qui est à couteaux tirés avec les conseillers de l’ère Corriveau depuis son élection à la maire en 2015, s’est réjoui de leur départ.

« Je pense que c'est une excellente nouvelle qui arrive très tard. Ç'a aurait dû arriver il y a un an et demi grosso modo », a réagi M. Juneau.

C'est quand même une bonne nouvelle. Je pense qu'on va être, pour une rare fois, tous d'accord là-dessus au sein du conseil.

Une citation de Sylvain Juneau, maire de Saint-Augustin-de-Desmaures

Le maire reproche aux cinq conseillers d’avoir contribué à l’augmentation considérable de la dette de Saint-Augustin au cours de la dernière décennie.

« Si on veut savoir où on s'en va, il faut savoir d'où on vient. On a une dette titanesque. Il y a des choses qui ont été faites tout de travers. Donc de n'avoir rien dit aurait été de cautionner tout ça. C'est clair que je ne pouvais pas me permettre ça, c'est une évidence », a lancé Sylvain Juneau.

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