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Petit de style espionnage, à la fois romantique et parodie de l’atmosphère politique du temps, sur l’Exposition universelle de Bruxelles en 1958. J’ai plus ou moins « embarqué » dans cette aventure de Thomas Foley, fonctionnaire qui est envoyé pour superviser un pavillon où sera érigé un pub typiquement anglais, censé représenter l’Angleterre. Sa mère est d’origine belge, mais il ne parle pas vraiment le flamand et n’a que peu de liens avec ce pays. , nouvellement père d’une fille, dont il ne s’occupe pas vraiment, comme les pères des années 50, il laisse sa femme et sa fille durant un certain temps. En réalité, sa mission n’est pas de servir au pub Le Britannia, mais d’espionner et de gêner l’ennemi, l’Union soviétique. Par ailleurs, Andrey Chersky, journaliste russe, est doué pour poser les questions tendancieuses, tandis que de charmantes jeunes femmes sont là, exactement au bon moment pour relancer ou détourner la conversation. On suit les aventures de Thomas avec la gent féminine avec intérêt, mais le portrait des dernières années du protagoniste est moins heureux. Plutôt triste. Un livre intéressant pour la reconstitution de l’époque, mais pas particulièrement passionnant.

Une suggestion de lecture proposée par un lecteur de Montréal membre du club des Irrésistibles du Réseau des Bibliothèques Publiques Montréal partenaire des Médiathèques du Pays de Romans.


Expo 58 de Jonathan Coe - Gallimard. Le Réserver ?

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