Gaza: Le Hamas refusera toute tentative de désarmement
GAZA•A indiqué le chef du mouvement islamiste palestinien, Khaled Mechaal...20 Minutes avec AFP
Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.
«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.
«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.
Le désarmement doit être discuté au Caire
Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.
Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.
Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.
«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.
«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.
Le désarmement doit être discuté au Caire
Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.
Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.
Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.
«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.
«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.
Le désarmement doit être discuté au Caire
Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.
Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.
Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.
«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.
«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.
Le désarmement doit être discuté au Caire
Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.
Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.
Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.
«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.
«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.
Le désarmement doit être discuté au Caire
Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.
Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.
Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.
«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.
«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.
Le désarmement doit être discuté au Caire
Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.
Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.
Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens
Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.
«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.
«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.
Le désarmement doit être discuté au Caire
Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.
Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.
Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.
«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.
«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.
Le désarmement doit être discuté au Caire
Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.
Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.
Sujets liés