GAZAGaza: Le Hamas refusera toute tentative de désarmement

Gaza: Le Hamas refusera toute tentative de désarmement

GAZAA indiqué le chef du mouvement islamiste palestinien, Khaled Mechaal...
Le chef du Hamas Khaled Mechaal, le 10 août 2014 lors d'un entretien avec l'AFP à Doha
Le chef du Hamas Khaled Mechaal, le 10 août 2014 lors d'un entretien avec l'AFP à Doha - Karim Jaafar Al-Watan Doha
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.

«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.

«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.

Le désarmement doit être discuté au Caire

Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.

Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.

Khaled Mechaal

Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.

«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.

«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.

Le désarmement doit être discuté au Caire

Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.

Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.


Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.

«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.

«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.

Le désarmement doit être discuté au Caire

Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.

Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.


Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.

«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.

«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.

Le désarmement doit être discuté au Caire

Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.

Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.

Netanyahu

Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.

«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.

«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.

Le désarmement doit être discuté au Caire

Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.

Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.


Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.

«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.

«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.

Le désarmement doit être discuté au Caire

Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.

Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.


Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens

Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.

«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.

«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.

Le désarmement doit être discuté au Caire

Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.

Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.


Le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas, Khaled Mechaal, a rejeté jeudi toute tentative qui viserait à désarmer ses combattants dans la bande de Gaza, l’une des exigences d’Israël en vue d’un accord à long terme.

«Les armes de la résistance sont sacrées. Et nous n’accepterons pas qu’elles soient à l’ordre du jour» des prochaines négociations prévues par l’accord de cessez-le-feu à Gaza, a déclaré Khaled Mechaal lors d’une conférence de presse à Doha (Qatar) où il vit en exil.

«Cela ne peut faire l’objet de marchandages ou de négociations. Personne ne peut désarmer le Hamas et sa résistance», a-t-il ajouté, défiant ainsi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui pose le désarmement du mouvement islamiste comme préalable à tout accord à long terme.

Le désarmement doit être discuté au Caire

Un accord de cessez-le-feu est observé depuis mardi entre Israël et les islamistes palestiniens après 50 jours d’une guerre qui a fait plus de 2.140 morts et 11.000 blessés parmi les Gazaouis et 70 morts côté israélien. Il prévoit notamment l’allégement du blocus de Gaza imposé depuis 2006 par Israël et qui asphyxie 1,8 million d’habitants de l’enclave palestinienne.

Outre la démilitarisation, la réouverture de l’aéroport et du port maritime de Gaza doive être discutée au Caire.

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